• Disco Valley - Goa - 1991


Histoire et Origines de la Transe



NOTES et références
[1] En langue française, on peut citer :

- FONTAINE Astrid et FONTANA Caroline, Raver, Éditions Anthropos, 1996.
- GREEN Anne-Marie, Des jeunes et des musiques, Rock, Rap, Techno..., Éditions L’Harmattan, 1997.
- AN-JU, Techno : House, techno, trance, jungle, ambient, hardcore... le guide des musiques électroniques, hors collection, 1998.
- SRAZZULA Jérôme, La Techno, Castermann, 1998.
- BARA Guillaume, La Techno, Librio musique, 1999.
- LELOUP Jean-Yves et RENOULT Jean-Philippe, Global tekno : Voyage initiatique au cœur de la musique électronique, Camion blanc, 1999.
- GRYNSZPAN Emmanuel, Bruyante techno, rélexion sur le son de la free party, Éditions Mélanie Séteun, 1999.
- QUEUDRUS Sandy, Un Maquis techno, Mode d’engagement et pratiques sociale dans la free-party, Éditions Mélanie Séteun, 2000.
- COLOMBIÉ Thierry, LALAM Nasser et SCHIRAY Michel, Drogue et techno, les trafiquants de rave, Stock, 2000.
- BIRGY Philippe, Mouvement techno et transit culturel, L’Harmattan, 2001.
- VANTHOURNHOUT, Techno, rêve ... et drogue ?, De Boeck, 2001.
- KYROU Ariel, Techno rebelle, Denoël, 2002.
- POSCHARDT Ulf, DJ culture, Ed. Kargo, 2002.
- RACINE Étienne, Le Phénomène techno, Imago, 2002.
- MABILLON-BONFILS Béatrice et POUILLY Anthony, La Musique techno, art du vide ou socialité alternative ?, l’Harmattan, 2003.
[2] Etat de la scène au début de l’année 2003, d’après le site Internet Psychedelic Mind Expander : http://www.cs.umu.se/%7etdv94ati/
[3] Par exemple : ODZER Cleo , Goa Freaks, My Hippie Years in India, Foxrock, 1995.
[4] Les conditions obscures dans lesquelles cette fête a été annulée, témoignant du climat de corruption qui règne aujourd’hui à Goa, sont relatées dans l’article de Arun SALDANHA, Disorganisation and the postcolonial politics of silence in Goa, Center for Critical Studies in Communication and Culture, 2001.
[6] Influence soulignée par une heureuse association sémantique (sans doute totalement involontaire, mais peu importe) dans un article de Sarah de Haro, « Les Spi, quatre DJ dans le vent » (Libération, 30/07/01) : « Oubliés les Smiley, sourires imprimés sur les T-shirts fluo, symboles des premières « Acid-house parties » : les tenues sont noires, les crânes rasés, et les énormes baffles protégées par du tissu camouflage crachent une « transe » psychédélique composée sur leurs consoles transportées dans des poids lourds hors d’âge. »
>>> Autres sources